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J'ai assisté ce 1er juillet, à La Filoche, à la projection de la video intitulée : " Drogues - Alcool - Tabac, demain j'arrête ! ". Ce documentaire a été réalisé par 10 adolescents de la communauté de communes de Moselle-et-Madon, accompagnés par des animateurs et des gendarmes de la brigade de prévention de la délinquance juvénile, et avec l'aide d'un réalisateur. Pour visionner le film, lire la suite

Fierté commune à l'occasion de la remise de l'Ordre National du Mérite à l'adjudante Céleste Blondeau du centre de secours et d'incendie de Thiaucourt-Regniéville par le Colonel Beaudoux des Sapeurs-Pompiers. L'exemple de son père conduit Céleste à s'engager comme volontaire des 18 ans à une époque où la place des femmes reste à conquérir.

La promotion des "nouveaux français" de cet été compte 286 personnes dans notre département. La cérémonie de reconnaissance de leur naturalisation est un des moments les plus forts que nous connaissions Martine ou moi : film rappellant les fondamentaux de notre Nation, discours du Préfet, remise par les élus de la charte des droits et devoirs du citoyen français et Marseillaise en coeur.

Dans le cadre du projet de loi Egalité et Citoyenneté, examiné cette semaine à l'Assemblée nationale, je défendrai deux amendements pour instaurer d'une part un service civique universel et d'autre part une journée d'appel senior. Découvrez ces propositions en détails !

Le retour de la fête de l'école de musique du Saintois était une des bonnes nouvelles de ce week-end. Sous les arbres de la place des Landres d'Haroué, trois générations de musiciens et chanteurs partageaient le fruit de leur apprentissage. Une chance extraordinaire pour ce territoire rural qu'une école sillonnant les villages pour révéler des talents cachés. 1000 mercis aux bénévoles qui permettent cela depuis maintenant 30 ans.

A quelques heures du résultats du référendum au Royaume-Uni, le Président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale et son homologue allemand au Bundestag, ont signé une tribune commune pour dire leur attachement commun à un projet européen. "Plus que jamais, l'Union européenne est notre réponse à la globalisation".

Vous êtes un espoir vrai parce que vous voulez changer le monde. Il est aujourd'hui trop égoïste pour durer. Aidez à ce que naissent des mouvements de jeunes, d'anciens, de citadins, d'artisans, de paysans et que cette société devienne une dynamique face à la dynamique d'une économie qui n'est maintenant soucieuse que d'elle même. Ainsi naîtra le politique, médiateur de tensions et architecte de l'avenir... Lire la suite du texte
 

Reportages inédits, paroles engagées, la Revue Projet veut réunir chercheurs et acteurs de terrain pour un numéro spécial. Et avec le journal La Croix, en assurer une diffusion exceptionnelle. Pour ensemble, inventer des initiatives porteuses d'espoir ! J'interviens mardi 21 juin dans un débat organisé dans le cadre de cette campagne. J'échangerai avec Michel Barnier et Corinne Lepage sur le thème « L'extrême droite progresse... Comment réagissent nos politiques ?». Rendez-vous à 19h au Centre Sèvres, à Paris.

Entre les rangées de mirabelliers et au milieu des moutons de Cyrielle Martin, l'horizon magnifique s'ouvre sur Vaudémont et Thorey-Lyautey : vous êtes au château d'Etreval. Pour la 9e année, plusieurs centaines de personnes se retrouvent dans la bonne humeur autour de spectacles originaux initiée par Hélène Merlin et la compagnie de Ludovic Füschtelkeit et Trio Kazoo. Au même moment "Si on lisait sur la colline" ouvre la 3e édition d'un festival qui grandit : écrivains lorrains, artistes, lecture de paysage et forums avec notamment le président du Muséum d'histoire naturelle.

Hommage à la députée travailliste à travers la bouleversante réaction de son mari, Brendan Cox :
«  Aujourd'hui est le commencement d'un nouveau chapitre dans nos vies. Plus difficile, plus douloureux, moins joyeux, mais rempli d'amour. Moi et la famille de Jo allons nous atteler à chaque instant à aimer et élever nos enfants et à combattre la haine qui l'a tuée. Jo croyait en un monde meilleur et s'est battue pour cela chaque jour de sa vie avec une énergie, une joie de vivre qui auraient épuisé la plupart des gens. Elle aurait voulu absolument deux choses, en cet instant : un, que nos enfants soient entourés d'amour, et deux, que nous nous unissions tous pour combattre la haine qui l'a tuée. La haine n'a pas de principe, de race ou de religion, elle est un poison. Jo n'aurait pas de regret sur sa vie. Elle a vécu chaque jour comme si c'était le dernier. »