Actualités

Une soirée des voeux placée sous le signe de la naissance d'une génération civique incarnée par Radia, Léa, Antoine, Jérémy et les jeunes du territoire venus partager leurs projets avec le public.
MERCI !

En France, il n'y a pas que des jeunes mus par l'appât du gain ou le goût de la mort. Il est temps de mettre en valeur une génération civique, une jeunesse qui aura l'immense tâche de bâtir un nouvel âge de la mondialisaion et de sortir de l'individualisme contemporain. 

" C'est vrai que nous ne sommes plus très nombreux à militer dans les partis politiques. Mais rassurez-vous, la moitié de la jeunesse croit qu'elle peut changer le monde. Et se dit prête à convaincre l'autre moitié !"
Antoine Dulin, représentant jeunesse au Conseil Economique, Social et Environnemental
 

Radia Bakkouch, présidente de Coexister, a évoqué son combat pour permettre aux croyants dans leur diversité et aux non-croyants de dialoguer pour vaincre les peurs et les préjugés. Léa Klein nous a raconté l'aventure de sa communauté d'entrepreneurs du numérique qui fait de l'innovation sociale le moteur de la performance : "Ne sous-estimez jamais l'impact que peut avoir une idée !"
		Le temps de séjour moyen dans les camps de réfugiés est de 17 ans, d'où l'idée de Jérémy Lachal et de Bibliothèques Sans Frontières (BSF) d'apporter de la culture et de la communication aux victimes de la misère et du terrorisme.

Thomas Huriez invente, avec ses jeans et baskets "Borne in France", un nouveau modèle économique : et si les freins à la compétitivité des entreprises françaises n'étaient pas plutôt le nombre des intermédiaires et le poids du système bancaire ?
 
Aimée, lauréate de "La France s'engage au Sud", a mis en valeur avec beaucoup d'enthousiasme son activité de recyclage de déchets plastiques en maroquinerie d'un nouveau genre à Lomé au Togo.


Quinze adolescents du collège Valcourt ont réalisé, avec leur professeur d'éducation civique, une video pour exprimer leurs émotions et leur espérance suite aux attentats du 13 novembre.

Dans la journée, nos intervenants avaient accueilli sur la scène de l'Arsenal une trentaine de jeunes de la Mission Locale et de l'Ecole de la Deuxième Chance pour un travail collectif : apprendre à identifier les difficultés qu'ils affrontent, formuler des solutions, construire une offre de service et en faire un projet d'utilité sociale. Quatre d'entre eux sont venus témoigner sur scène du projet qu'ils avaient conçu dans la journée. Devant le succès de l'opération et face à la question dramatique du chômage des jeunes, BSF et Make Sense envisagent un Tour de France de l'initiative citoyenne issue de la jeunesse des quartiers comme des territoires ruraux.