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Vendredi 11 octobre
Ouverture de l'Arsenal

Madame la Ministre,
Chère Aurélie,
Bienvenue dans le Toulois !
Vous êtes au cœur du territoire le plus jeune de Lorraine, une terre de bâtisseurs et une terre de défricheurs. C'est en effet devenu chez nous, une "marque de fabrique", lutter contre toutes les formes de friches :
Mais, mes chers amis, c'est d'autres friches qui m'obsèdent aujourd'hui.
Celles qui dans nos esprits naissent de la démission de la pensée et de la volonté. Asséchés par l'individualisme, l'hyper médiatisation du superficiel et la violence du populisme, nous repoussons dans le trou noir de nos mémoires les naufragés de Lampedusa et les laissés pour compte de ce que vous avez si bien décrit Madame la Ministre, dans "La fin de la classe ouvrière ".
Alors inlassablement il nous faut labourer et semer. L'éducation - la plus populaire possible -, la créativité, le sens des valeurs universelles, bref la culture. Voilà le sel de la République ! Pas de pacte républicain solide sans une culture humaniste partagée.
Que dans ce nouvel espace nous puissions penser, débattre, danser, chanter, rire et que soit cultivé l'esprit de fraternité.
Un dernier mot Aurélie pour vous dire combien nous sommes fiers de compter sur toi en Lorraine et au sein du Gouvernement. Avec toi nous partageons cet espoir exprimé par Pierre Mendes France en 1955 :
« Il faut pour investir et pour abattre une à une les Bastilles d'aujourd'hui, plus que l'enthousiasme d'une poignée d'hommes de bonne volonté, il faut la mobilisation permanente et résolue de toutes les énergies nationales. »
Chère Aurélie,
Bienvenue dans le Toulois !
Vous êtes au cœur du territoire le plus jeune de Lorraine, une terre de bâtisseurs et une terre de défricheurs. C'est en effet devenu chez nous, une "marque de fabrique", lutter contre toutes les formes de friches :
- Les friches industrielles de l’ « après Kléber » pour permettre l'émergence d'une nouvelle économie et nous n'avons pas oublié votre présence à nos côtés dans le combat de 2007,
- Les friches militaires et hospitalières sur lesquelles nous bâtissons ici et ailleurs les équipements utiles au Grand Toulois à l'instar de cet « Arsenal »,
- Les friches de nos coteaux nord et sud que nous voulons côte à côte reconquérir pour un vin qui a le goût de la plus européenne des rivières,
- Et demain, Alde, les friches urbaines du centre médiéval de Toul qui sont devant nous après la rénovation de la ville haute, entreprise par Nicole.
Mais, mes chers amis, c'est d'autres friches qui m'obsèdent aujourd'hui.
Celles qui dans nos esprits naissent de la démission de la pensée et de la volonté. Asséchés par l'individualisme, l'hyper médiatisation du superficiel et la violence du populisme, nous repoussons dans le trou noir de nos mémoires les naufragés de Lampedusa et les laissés pour compte de ce que vous avez si bien décrit Madame la Ministre, dans "La fin de la classe ouvrière ".
Alors inlassablement il nous faut labourer et semer. L'éducation - la plus populaire possible -, la créativité, le sens des valeurs universelles, bref la culture. Voilà le sel de la République ! Pas de pacte républicain solide sans une culture humaniste partagée.
Que dans ce nouvel espace nous puissions penser, débattre, danser, chanter, rire et que soit cultivé l'esprit de fraternité.
Un dernier mot Aurélie pour vous dire combien nous sommes fiers de compter sur toi en Lorraine et au sein du Gouvernement. Avec toi nous partageons cet espoir exprimé par Pierre Mendes France en 1955 :
« Il faut pour investir et pour abattre une à une les Bastilles d'aujourd'hui, plus que l'enthousiasme d'une poignée d'hommes de bonne volonté, il faut la mobilisation permanente et résolue de toutes les énergies nationales. »