Dominique Potier
Député de la 5e circonscription de Meurthe-et-Moselle
Audrey Bardot, suppléante






 
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Dimanche 24 novembre

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Paris
 
 
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© Le Républicain Lorrain, Jeudi le 03 Mai 2012 / MMN /

Les socialistes à Nancy : « L'UMP court après l'extrême droite »

Les socialistes à Nancy : « L'UMP court après l'extrême droite »
Le Parti socialiste a bien l'intention de garder son cap : de la hauteur de vue en tout. « Nous sommes dans un état d'esprit aux antipodes de la campagne ordurière menée par Nicolas Sarkozy et ses soutiens ici en Meurthe-et-Moselle », prévient Mathieu Klein, le premier secrétaire fédéral du parti en Meurthe-et-Moselle. Il ne mâche pas ses mots mais assume, en réponse à la conférence de presse tenue la semaine dernière par l'UMP (RL du 27/04, en pages Région). Le conseiller général assure que François Hollande, une fois élu, aura pour but « d'apaiser et de renouer le lien avec les Français, loin de toute recherche de boucs émissaires ».

Les socialistes poursuivent leur campagne de terrain, avec un porte-à-porte ciblé : les zones où se sont exprimés abstention et vote du Front national. « Les gens sont assez déterminés dans leurs propos », observe Chaynesse Khirouni, candidate aux législatives sur Nancy. « L'erreur de l'UMP a été de courir cinq ans après l'extrême droite, sans en convaincre les électeurs. »

Dominique Potier, autre candidat aux législatives, dans le Toulois, considère que le candidat de droite peut être comparé à un « pompier pyromane ». « Qu'un parti de gouvernement tombe dans le caniveau, qu'est-ce que ça nous promet pour demain ? », demande-t-il encore.

Le conseiller général de Lunéville, Gregory Grandjean, rappelle que les militants ont frappé à 32 000 portes dans le département. « Nous avons rappelé aux électeurs que parmi les propositions de François Hollande, il y avait des réponses à leurs attentes », explique le coordinateur de la campagne.

« Les gens sont conscients que la situation est difficile, ajoute le sénateur Daniel Reiner, en vieux sage. Ils sont prêts à attendre quelque temps, que nous posions des actes raisonnables. Mais il n'y aura pas d'état de grâce. »

Ju. B.
Photo Anthony PICORÉ
 
 
 
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