Dominique Potier
Député de la 5e circonscription de Meurthe-et-Moselle
Audrey Bardot, suppléante






 
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Dans la presse

L'Est Républicain du 12 juin 2012 / 24 Heures Meurthe-et-Moselle

La nouvelle vague

La nouvelle vague

Dans le Toulois, à Lay-Saint-Rémy, dont il est le maire, tout le monde connaît Dominique Potier. Ce socialiste militant, un pied dans l'action politique, un autre dans ce terroir qu'il défend bec et ongles avec une vraie conviction, personne ne l'a vu venir. Un président de codecom solide, certes, mais qui ne devait pas tenir plus de deux rounds face à Nadine Morano, jouissant d'un solide réseau national, entrant chez « Nicolas » et Claude Guéant presque sans frapper et prête à « sulfater » politiquement, tout ce qui s'interposait sur la route d'un sarkozysme à bout de souffle.
 

Les invisibles en tête

Et puis voilà, il a suffi d'une vaguelette hollandiste pour que l'enracinement se transforme en voix : il n'y a guère qu'à Thiaucourt que Nadine Morano a gardé l'avantage avec 44,30 % des suffrages. Partout ailleurs, ou presque, Dominique Potier oscille entre 37 et 40 %. C'est vrai à Colombey, qui vote encore à près de 20 % pour le FN, c'est toujours vrai à Domèvre-en-Haye, chez Jean Loctin, où l'écart se resserre au filet, mais avec avantage Potier. Et c'est éclatant chez Michel Dinet à Vannes-le-Châtel, où le candidat socialiste rafle 200 voix sur 280 et Nadine Morano 1 seule. On brûle de rencontrer cette âme seule, mais respectable...

 

En bousculant sérieusement Laurent Hénart qui, politiquement, s'en est toujours méfié, Chaynesse Khirouni a joué une autre carte. Face au secrétaire général du Parti radical, proche de Borloo et ancien ministre, Chaynesse Khirouni, conseillère municipale d'opposition à Nancy, était condamnée, il y a six mois encore, à faire de la figuration. « Je mène une vraie campagne, j'ai fait toutes les portes, et pas seulement il y a un mois. Mes convictions sont claires. L'expérience ce n'est pas seulement une carrière politique. J'ai la mienne. Dans mon parcours, il y a des compétences en gestion, en ressources humaines, en emploi, en politique économique » se défend cette cadre, née en Moselle et spécialiste du micro-crédit, qui distance tout de même Laurent Hénart de 1.572 voix. A ce niveau de jeu, ça peut faire mal.
 

Pascal SALCIARINI


 
 
 
 
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