Dominique Potier
Député de la 5e circonscription de Meurthe-et-Moselle
Audrey Bardot, suppléante






 
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Mercredi 2 avril

Détail de la journée

A Paris

09h30-
10h30
Réunion de préparation du cycle mémoriel autour de la Victoire de 1945
Assemblée nationale 
11h00-
13h00
Commission des Affaires économiques
Assemblée nationale
14h00-
15h00
Questions au gouvernement
Assemblée nationale
15h00-
20h00
Débats en séance publique :
-Dispositions d'adaptation au droit de l'Union Européenne
-Création d'un Institut Océan de l'université des Nations Unies en France
-Renforcement du contrôle du Parlement en période d'expédition des affaires courantes
-Lutte contre les déserts médicaux

Assemblée nationale
21h30-
23h30
Suite des débats en séance publique sur la Proposition de loi visant à lutter contre les déserts médicaux
Assemblée nationale
 
 
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Vendredi 19 juin 2020

Contre l'indécence des écarts de revenus : le facteur 12

Contre l'indécence des écarts de revenus : le facteur 12
J'ai déposé  une proposition de loi pour une limite décente des écarts de revenus , avec un double objectif  : 
  • Instaurer un mécanisme fiscal incitatif  : au-delà d'un écart de  1 à 12,  les rémunérations concernées et les cotisations qui y sont associées ne sont plus déductibles du calcul de l'impôt sur les sociétés. 
  • Plafonner les très hautes rémunérations dans l'ensemble des entreprises, privées comme publiques,   à 20 fois le SMIC  en écho à la position des syndicats européens. 

En 2018, les dirigeants du CAC40 gagnaient en moyenne 277 fois le SMIC.
 
En rendant visible le caractère vital de métiers mal rémunérés, l'épisode pandémique a mis en évidence notre interdépendance, non seulement planétaire, mais aussi sociale. Il nous permet d'ouvrir à nouveau un débat largement méprisé ces dernières décennies : l'échelle des salaires est un choix profondément politique qui traduit l'échelle de valeur d'une société.

Engager un tel processus, avec cette proposition de loi que je porte avec le groupe socialiste, c'est mettre l'humain au centre de l'économie. C'est choisir la « common decency » (décence commune) de Georges Orwell, contre le « there is no society » (la société, ça n'existe pas) de Margaret Thatcher.
 
 
 
 
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